La
justice vient de condamner des faits de proxénétisme qui se sont déroulés au
foyer ADOMA de Loudun, lieu d’hébergement de demandeurs d’asile.
Ce délit est
sanctionnable pénalement, ce qui ne surprendra personne. Dans l’exemple qui
vient d’être rappelé, c’est la manière dont il a été porté à la connaissance
des autorités qui interpelle. Il aurait
été signalé à la préfecture par des « bénévoles des restos du cœur ».
La lecture de ce détail dans la Nouvelle
République du mardi 6 juin a surpris et
choqué les responsables et tous les bénévoles du centre des restos de Loudun.