mercredi 27 février 2013

CURIEUX RAPPROCHEMENT

Aujourd’hui, la mort de Stéphane Hessel vient de nous être annoncée. J’ai été, au milieu de la multitude, l’un des nombreux lecteurs anonymes de son manifeste, opuscule dévoré d’une traite  et me prends à avoir des regrets. Regrets de n’avoir pas sa force de persuasion, son talent d’écrire l’essentiel en phrases toutes simples, sa capacité à entrainer les convictions. A tous niveaux, il serait indispensable de savoir s’indigner, de savoir l’écrire et convaincre qu’à notre échelon quelque chose peut être dit, quelque chose peut être fait. Ne jamais se résoudre à l’irrémédiable, se persuader que toi, moi, lui et elle, chacun de nous peut être le déclencheur du changement , celui qui fera le premier pas pour entrainer ce renouveau qui semble nous échapper. Certes , il est bien prétentieux de faire ce rapprochement entre un homme exceptionnel et nos préoccupations pitoyablement locales, mais quand on lit la relation faite, dans notre feuille de chou locale, de la réaction provoquée par l’indignation de quelques uns d’entre nous au niveau du premier magistrat de la ville, on se dit : « Monsieur Hessel, comme nous aurions aimé vous savoir Loudunais ».

lundi 25 février 2013

LE MOT DE L’ARCHIVISTE (suite)


C’est étonnant la résonnance de certains mots, de certaines phrases quand on les relit à travers le prisme des évènements. Quand, à l’époque, j’émettais des doute sur les volontés réelles de leur auteur, j’étais invariablement taxé de mauvais esprit (pour résumer, car il y avait d’autres expressions).
Aujourd’hui, je ne résiste pas à l’envie d’en proposer un florilège, puisé dans les citations faites par la NR pour que la source ne soit pas contestable

11/10/2008 : « Je veux être optimiste pour la ville » (il nous aurait plutôt donné la sinistrose).

17/10/2008 : « Je regarde vers l’avenir. Je souhaite  que Loudun trouve toute sa place au sein de la Communauté de Communes »……et 17/03/2010 : « La ville de Loudun est revenue dans les instances de décisions {de la CCPL}….nous travaillons sereinement avec un regard Communautaire et d’élu de la commune  (depuis le 2 octobre 2012, c’est indéniable).

27/03/2009 : « J’aimerais que ‘le partenariat’ nous permette de créer des synergies autour de trois pôles : le ferroviaire, l’industrie du luxe et  le secteur des équipements agricoles….. Je veux un grand projet pour Loudun et pour tous les Loudunais » (sauf, peut-être, pour quelques adjoints).

14/05/2009 : « Ce qui m’intéresse, c’est le projet pour ma ville…. Il dépasse les frontières de la cité. Loudun c’est la locomotive de tout le territoire. Aujourd’hui, j’ai de bons rapports avec tous les élus du territoire qui a trop souffert de guerres larvées entre les élus. Moi, je veux être fédérateur, c’est mon credo (je pense que le mécano de la locomotive va devoir sérieusement réviser ses prières).

D’autres exemples suivront qui ne feront que confirmer le vide intersidéral qui s’est glissé entre  déclaration d’intention et  réalité. Ce n’est vraiment pas réjouissant d’être amené à un tel constat.

samedi 23 février 2013

POUR QUI LA PROMOTION ?

Il va y avoir du frétillement d’impatience  dans les rangs du G 15 (comme dirait Laurent Pinot). Ne reculant devant aucune audace, le maire de Loudun vient de retirer délégations et indemnités à 3 autres adjoints : la 1ère E. Marchand ,la 5ème M.A Chauveau et le 8ème A. Kling. On attend de connaître les heureux remplaçants, ainsi récompensés de leur docilité à moins que, comme ce fut le cas après de le départ de S. Brochard, personne ne soit promu et que le maire ne s’appuie sur les talents inépuisables des trois adjoints survivants.

Cela ne ressemble plus à rien. Il ne tient plus, dans le microcosme départemental, que  pour la voix de majorité qu’il y apporte. C’est le J.P. Eragne du Conseil Général. Il  a été mis au ban de la CCPL par l’exécutif tout entier et vient de transformer en fossé le sillon de la discorde et de l’autoritarisme qu’il laboure avec persévérance depuis bientôt cinq ans au sein de notre Conseil Municipal. Dire que dans le même temps il est déjà en campagne pour 2014, ne laissant à personne d’autre le soin de poser dans la NR en toute occasion laisse rêveur. Il sera bientôt temps de parler de bilan. Il est clair que sur le plan humain le compte sera vite fait.

jeudi 21 février 2013

CA N’INTERESSE PERSONNE (suite)

Le 5 février dernier, je m’interrogeais encore sur l’identité et l’habilitation du « signeur/scanneur » de la mairie et regrettais l’absence d’infos sur le sujet par la sous-préfecture. J’avais tort et recevais quelques jours plus tard la missive attendue. Quant à la réponse elle-même,  je vous laisse juges :  « J’ai l’honneur de vous informer qu’il vous appartient de prendre ‘l’attache’ (sic) de M Benas, maire  de Loudun afin qu’il porte à votre connaissance la procédure utilisée en matière de signature électronique ».

Si ce n’est pas de la bonne langue de bois administrative ça, je n’en veux rien. J’avais transmis tous les renseignements utiles et demandais une précision sur la légalité d’une procédure utilisée et non le détail de la procédure que, désormais, nous connaissons. Mais, que voulez-vous, dans les services de l’Etat, ce doit être un peu comme sur les terrains de rugby : il faut savoir botter en touche.

Dernière précision. Le 15 février, j’ai réitéré la demande auprès de la même personne : « Mon interrogation portait sur la nécessité qu’il y aurait eu  au préalable de faire enregistrer cette signature pour qu’elle puisse être valablement utilisée par un tiers ».

Comme je suis un optimiste invétéré je ne doute pas un instant avoir un jour le fin mot sur cette question hautement existentielle……………………à suivre.

dimanche 17 février 2013

10 ANS PLUS TOT (mais qui s’en souvient ?)


C’était en 2003. La CCPL se dotait d’un outil de prospective inégalable : Le Conseil de Développement. L’objectif affiché était « d’établir une Charte de Développement pour le pays…Une fois cette charte présentée il lui faudra trouver les différents maitres d’ouvrage que sont les collectivités locales……………..cette charte peut également faire appel à des fonds européens. Nous voulons libérer les énergies dans tous les domaines. Le Conseil de Développement sera porteur d’idées et de projets fédérateurs pour le pays afin d’assurer son développement et sa progression avec l ‘assentiment du maximum . »

De qui étaient ces fortes paroles ? Du président du Conseil de Développement lui-même: E. Benas, c’était voici 10 ans.*

Cette fameuse charte sera rendue publique en septembre 2004. Elle est toujours consultable sur le site de la CCPL et  c’est bien le seul document publié sur l’activité de ce conseil. Au travers des documents accessibles sur place, on s’aperçoit que les activités ont été plutôt épisodiques. Au fil des ‘commissions’ et ‘interventions’, on voit apparaître les noms de G. Charrier, G. Kremer, R. Richard ou G. Polisset. Ce dernier sera à son tour président de ce Conseil, faisant le lien avec l’inénarrable « Cellule Economique Loudunaise » affirmant même, le 17 février 2009 «  que dans le cadre de la CEL, il existe 12 projets d’extension/création, 17 000m² de bâtiments à acquérir ou à construire, et 70 à 80 emplois à créer »**. C’est vrai que la CEL ira elle aussi de sa Charte avec l’efficacité que l’on sait.

Savez-vous que M. Polisset était devenu à ce moment-là le nouveau Président du Conseil de Développement ? Quelques temps plus tard, à l’A.G. suivante, il démissionnera et mais personne ne sera candidat pour lui succéder et il sera « décidé de laisser un temps de réflexion à chacun et de reporter cette élection à plus tard »***. Le plus tard semble toujours d’actualité, tout comme la nouvelle mouture de la Charte qui devait être validée fin 2012.

Pourquoi reparler de cela maintenant ? Tout simplement pour rappeler aux encenseurs municipaux des récents conseils éponymes (et membres très actifs des officines précitées) où ils se faisaient « La voix de son Maitre » en pré-campagne que certains d’entre nous ont encore de la mémoire. Leur dire que dans une période où  les effets d’annonces  ressurgissent,  l’inefficacité devrait engendrer la modestie et les avertir,  ainsi que l’expliquait le regretté Pierre Dac qu’« à force de prendre sa vessie pour une lanterne….on se brûle ».

   * nouvelle république du 1er décembre 2003
 ** réunion de bureau du conseil de développement du 17 février 2009
*** assemblée générale du conseil de développement du 20 octobre 2009

jeudi 14 février 2013

LE MAIRE DU MARCHE

Encore une fois, ce feuilleton a connu un nouvel épisode au conseil du 13 février. Des commerçants non sédentaires sont arrivés en cours de séance, s’installant avec force bruit de chaises dans le hall pour attendre l’évocation du seul sujet qui les préoccupent.

Pour les élus que nous sommes, c’est une séance de trop. Nous avons déjà trop parlé de cela pour rien, obtempéré aux desiderata du maire, lui donnant les votes unanimes qu’il exigeait pour ne pas voir les décisions appliquées. Nous sommes un certain nombre à quitter la séance pour ne pas participer à cette pseudo délibération.

Quelques instants plus tard, on apprend qu’il a cédé à ceux qui criaient le plus fort (et c’est sans doute eux qui ont eu raison). Il se dirige lui-même vers le petit groupe pour faire son compte rendu et là, je comprends. Je me souviens de notre pitoyable altercation du 8 janvier où j’avais été surpris de la connivence affichée entre l’édile et les forains. C’est cela, il est des leurs. D’ailleurs, n’a-t-il pas montré l’été dernier qu’il était lui-même un maire non-sédentaire ? Avec ces décisions imposées sans qu’il lui manque une seule voix, il avait pu leur dire : « C’est à cause d’eux, je n’y suis pour rien ».

Voilà donc comment se gère notre cité avec un maire épisodique et 14 « je vote tout » bien calés sur leurs chaises. Nous entamons bientôt notre dernière année de mandat avec un sentiment de gâchis et de frustration, de débauche d’énergie et de temps perdu.

ON ATTEINT DES SOMMETS

Quel triste spectacle que celui du dernier conseil municipal. Nous savions que le désaccord sur la gestion de la ville serait exacerbé par cette délibération sur les comptes et le  budget, mais à ce point ?

Comme à l’accoutumé, le discours introductif ne laisse planer          aucun doute sur le bien fondé de tous les choix passés et à venir. La tension semble à fleur de peau dans la quinzaine majoritaire. Le briefing d’avant séance a du être encore plus incisif que les autres. On avait eu une mise en garde du second adjoint en décembre dernier, sans doute pour nous prévenir de ce qui nous attendait, pour nous mettre en situation et curieusement,  en ce tout début de séance,  le maire me refuse de lire la réponse que je lui destinais.

On subit l’avalanche des chiffres des comptes administratifs, entrecoupée d’auto congratulations de tous ordres (réduction de la dette, maitrise des dépenses, gestion visionnaire…….). J’ai les mêmes interrogations que l’an passé sur  l’évolution des dépenses de fonctionnement mais à quoi bon en faire état. Des rapporteurs (c’est nouveau) sont là pour étayer la thèse officielle et, en quelques sorte, répondre avant même que les questions n’arrivent.

Ce n’est toujours pas le moment pour que je puisse parler. Joel Dazas puis Pierre Lantier sont autorisés à faire état de leurs points de vue mais toujours pas moi et je me lève pour distribuer le texte voué au silence. « Quel manque de respect des institutions » me dit-il. « Quel manque de respect de la démocratie » sera ma réponse.

Ce n’est plus un conseil municipal , c’est une match de ping pong par déclarations interposées. Voilà l’adjoint aux espaces verts qui sort son papier et se voit autorisé à le lire. C’est un pâle copie de ce qu’avait lu le second adjoint en décembre dernier. Cela me pousse à réclamer une fois encore la parole et je suis enfin autorisé à intervenir.

Le match n’est pas fini. Un peu plus tard, c’est le maire lui-même qui fera état de tout le mal qu’il pense de sa première adjointe et qu’il avait également consigné par écrit. Les propos sont tels que les murmures s’élèvent autour de la table et que l’intéressée en est abasourdie. Un tel mépris ne surprend pas mais c’est le choix du moment et du lieu pour le dire qui indigne.

Que dire encore de ce vote à bulletin secret impossible ce soir alors qu’on y avait eu recours l’an passé ? Le maire argumente que les Loudunais sont en droit de connaître la façon dont chaque élu se positionne. Tu parles ! N’est-ce-pas plutôt lui qui craindrait que, dans la sécurité de l’anonymat, un seul des ses 15 « fidèles » ne lui fasse défaut ? Le directeur général de services, un peu plus tard, reconnaitra son erreur et on revotera (mascarade) à bulletin secret. Cette erreur en était-elle vraiment une ?

Oui, vraiment hier soir, on a atteint des sommets.

mercredi 13 février 2013

Il ne faut pas confondre :

LA MERE MET LA MAIN SUR  LE FILS  et:

LE     MAIRE       MET           LA     MAIN       SUR     L’OFFICE


Mardi 19 heures : assemblée générale de l’Office de Tourisme.
Le sujet m’intéresse. Le conseil municipal avait eu à y désigner ses représentants. J’avais postulé, pensant que ma participation à la commission tourisme pouvait le justifier, mais le maire  avait imposé l’ adjoint aux espaces verts et le conseiller délégué aux relations inter-générationnelles (forcément bien plus qualifiés que moi).

La présidente donne lecture du rapport moral puis du rapport financier, parle des activités 2012 et des projets 2013. Notre ville et son canton sont riches de propositions touristiques, pas nécessairement bien exploitées et cette association a vocation à œuvrer pour leur développement. Sa situation est hybride, partagée entre le dévouement des bénévoles et le support municipal fait d’ heures de délégation de certains personnels. Cela a valu des désaccords récents suivis de quelques démissions. Il faut, à cet instant, pourvoir au remplacement du tiers sortant. 7 personnes, comme le précise le vice-président.

 7 candidatures – dont la mienne -  se manifestent mais  le vote à bulletin secret est demandé. En effet, ce n’est pas parce qu’il n’y a pas plus de candidats que de postes à pourvoir qu’il ne faut pas procéder ainsi pour apprécier la légitimité de chacun des candidats. Je préciserai même à cet instant précis que si je n’obtenais que quelques voix sur la cinquantaine envisageable, je renoncerai à ce mandat. 

La présidente semblait acquiescer quand le maire fait son entrée.  Il n’a que ¾ d’heure de retard mais, pour lui, on résume la séance. On en est au scrutin et il lui paraît judicieux de donner la leçon aux responsables associatifs. Pour lui, ce ne sont pas 7 mais 12 membres qu’il faut remplacer. Il sort de sa poche un chiffon de papier qu’on devine être une copie des statuts dont sa lecture n’est pas identique à celle des responsables de l’O.T.  Ca y est: c’est lui le président. Craint-il pour l’élection de son épouse qui vient de se porter candidate ou celles  de 2 ou 3 de ses supporters affichés ?

Il faut l’intervention du président de la FAE pour lui rappeler qu’il n’est pas au conseil municipal et que ce n’est pas à lui de mener les débats, qu’il calme ses ardeurs et permette la poursuite de la réunion, sauf que, sans doute troublés par ce qui vient de se passer, la présidente et le vice-président renoncent au vote à bulletin secret pour déclarer que 7 candidats pour 7 places = 7 élus. Il ne leur vient même pas à l’esprit de demander si quelqu’un, parmi les adhérents, s’oppose à l’une ou l’autre de ces candidatures

Je ne partage pas cette arithmétique. Je persiste à croire que pour être digne d’une association il faut être en osmose avec une part non négligeable de ses adhérents. Au-delà, je me pose même la question de la validité d’une telle délibération se pliant devant un intervenant, simple adhérent, fusse-t-il de droit de part sa fonction.
C’est pitoyable.

Nous sommes à un carrefour de nos structures territoriales. Dans le pays Loudunais, seul notre office de tourisme se verra priver de la manne de  25000 euros qui permettra à ceux de Moncontour, Monts sur Guesnes ou Trois Moutiers de se refaire une santé. Que seront demain nos territoires cantonaux ? Quelles contraintes seront prochainement imposées aux office de tourisme ? Comment y ferons-nous face ?

A croire que cela n’est que billevesées et que, comme tout autre réseau, il n’ y  a là qu’un moyen de faire du clientélisme, une façon de soigner sa propagande en vue d’un prochain scrutin peut-être moins acquis d’avance.

lundi 11 février 2013

MON AMI PASCAL AUDIN

                                                       

C’est un gars curieux. Un corps qui se dandine quand il est en public, ne sait trop où se mettre ni trop faire la conversation. Sa place n’est pas là mais au milieu de ses  peintures, collections et autres sculptures ou inventions. Sa vie est dans ses créations. Il a trop manqué de tout autrefois et désormais fait de son art une bulle de survie, une autre vie, tardivement recommencée. La noirceur d’un passé rarement évoqué fait place à une débauche de couleurs, une exubérance, une luxuriance qui nous emporte dans son imaginaire si on l’accepte comme guide.

Nous l’hébergeons, pour quelques semaines, à la collégiale Sainte Croix. Je me souviens de son air étonné, émerveillé, en la découvrant . Il a déjà connu d’autres lieux d’exposition mais je pense que le côté magique de cet endroit exceptionnel l’a réellement envouté. Je lui souhaite d’y  rencontrer des visiteurs à la même spontanéité que la sienne,  des enfants avides d’échanges colorés, d’y trouver quelques instants de profonde sérénité. J’ai dit à propos de son art qu’on adhère ou bien on passe son chemin mais, si on se laisse prendre, on gagne vraiment un moment hors du temps et il y a jusqu’au 24 mars pour tenter l’expérience.

mardi 5 février 2013

CA N’INTERESSE PERSONNE

Vous souvenez-vous de cette étonnante façon dont le maire de Loudun avait, à distance, fait scanner sa signature pour prendre un arrêté municipal depuis sa lointaine villégiature ?

Les réponses de l’intéressé à mes questions sur ce point n’étant pas probantes et, sans doute, étant trop légaliste, j’avais voulu interroger les services de l’Etat sur ce point. Mails et conversations téléphoniques ont été échangés avec la Sous-préfecture puis avec la Préfecture me renvoyant elle-même de nouveau vers la Sous-préfecture…… C’était  à en perdre mes dernières notions de droit public.

En dernier ressort, on m’invita à écrire directement à Madame la Sous-préfète. Ma missive de fin décembre étant sans réponse, je l’ai relancée verbalement à l’occasion des vœux de du Président de la CCPL,  à Martaizé, voici près d’un mois. Elle m’assura qu’elle répondait toujours aux courriers qui lui étaient adressés. Mais voilà, elle ne m’a pas dit quand.

Je pense, en réalité, que cette promesse est aux oubliettes , que le sujet est sans importance et que les Loudunais n’ont qu’a se débrouiller entre eux. Qu’est-ce qu’un obscur conseiller municipal se mêle de toujours critiquer le maire en place ?

Oui, vraiment, ça n’intéresse personne.