samedi 29 juin 2013

MENSONGES MUNICIPAUX.


Je n’arriverai jamais à comprendre que l’on érige le mensonge en mode de fonctionnement normal. C’est tellement ahurissant dans la fausse offre d’emploi pour la maison de la petite enfance que j’ai voulu en contester la relation faite au compte rendu du conseil d’avril 2013. Evidemment, M. Benas ne m’a pas permis de m’exprimer sur ce sujet. Quand mes questions commentent, ça le dérange.
De quoi s’agit-il ?
On peut lire dans ce compte rendu :
                        Vu la déclaration de vacance pour ce poste
                Considérant l’absence de candidat pour ce poste
Premier mensonge car j’avais connaissance d’ au moins une candidature déposée dans les formes et dans les délais.
Il m’avait été répondu :
                On aurait pu ajouter : ne remplissant pas toutes les conditions                         demandées et les qualités requises.
C’est très fort. On va dire à quelqu’un qui n’existe pas (si absence de candidature)  qu’il ne fait pas l’affaire.
Deuxième mensonge car cette candidature était parfaitement en phase avec le poste à pourvoir tant au niveau de l’expérience que des diplômes requis.
Comme dernier argument on propose même d’envoyer un courrier, après la délibération, à cette même personne qui n’existe toujours pas et qui ne fait pas l’affaire pour lui dire qu’elle n’a pas été retenue.
Là , on atteint des sommets, que dis-je, on enterre l’Himalaya.
Ce serait risible si l'on n'était pas dans une période où la recherhe d'emploi est d'une telle difficulté qu'il faut avoir un minimum de respect envers ceux qui s'impliquent et qui postulent.

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